Le PDG de PIP, Jean-Claude Mas, ne sait pas quoi faire de ses protèses mammaires, interdites à la vente.
J'ai quelques idées pour les recycler...
Pourquoi ne pas en faire des boules anti-stress qui seraient distribuées aux femmes qui ont fait implanter ces protèses dans leurs seins. Ca leur permettrait de patienter jusqu'à l'opération qui les retirera (ou les fera remplacer par d'autres implants)
ou bien transformer le silicone en tapette à mouches !
Si vous avez d'autres idées pour recycler le silicone contenu dans ces implants mammaires, n'hésitez pas à les faire partager sur ce blog...